Malgré la fatigue, l’épuisement, je n’arrivais toujours pas à m’endormir avant 2 heures du matin, parfois même 3 heures ou plus, et pas moyen de faire la sieste non plus, comme si le système était déréglé. J’avais d’ailleurs eu plusieurs fois cette angoisse terrible de ne plus jamais dormir de ma vie…

 

Depuis fin janvier, j’étais à 8 gouttes de lysanxia le soir vers 22h et je me posais des tas de questions sur mon sevrage. Devais-je augmenter et recommencer ? Devais-je faire 2 prises ? Devais-je attendre que ça passe ? Combien de temps pouvais-je rester avec ce nombre de gouttes … ce sevrage me prenait vraiment la tête !!!

 

Ysoline me déconseilla d'augmenter, elle pensait comme moi qu'à ce stade ce n'était plus la peine ; elle me conseilla plutôt de répartir ma prise unique en 2 prises par jour, d'aller beaucoup plus doucement, de faire des dilutions de gouttes et de voir ce que ça donnerait. Je décidais donc de passer à 2 prises par jour en faisant «glisser» 2 gouttes du soir vers le matin et 2 jours plus tard 2 autres gouttes.

 

Mi-février, je décidais d’effectuer une diminution mais je devais pour cela faire des dilutions de gouttes ! J'avais déjà acheté une seringue en plastique à la pharmacie. J’avais jusqu’alors diminué d’une goutte tous les 15 jours et j’allais donc attaquer les demi-gouttes.


Les symptômes étaient très durs à supporter… Qu’est-ce qui clochait ? En fait, c’était surement tous les changements que j’avais fait ce mois-ci … Incroyable, comme quoi il ne fallait pas jouer même avec 1 ou 2 malheureuses gouttes !

 

J’avais vraiment envie de crier mon RAS-LE-BOL !!!

 

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Février 2010 - gouttes, demi-gouttes...
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